Chaque année, TétrasLire vous propose un concours d’écriture très apprécié. Vous êtes de plus en plus nombreux à y participer, vous laisserez-vous tenter par cette nouvelle édition ?
En 2021, nous avons saisi l’occasion d’un numéro théâtral pour tester vos talents de dramaturge. Trois scénarii sont proposés comme support à votre imagination. Faites preuve de répartie, d’humour et d’originalité et envoyez-nous vos créations.
À vos plumes !
Pour participer…
1/ Choisis une des trois saynètes et écris les dialogues sur une page.
2/ Envoie ta participation avant le 1er avril 2021,
soit par courrier à : Éditions AlbaVerba – 20 quai Fulchiron – 69005 Lyon
soit par mail à : communication@albaverba.fr
3/ Précise ton nom, ton adresse, ta date de naissance et ce que tu aimes faire en dehors de l’école.
Scénario 1 : QUIPROQUO
Madame Bonnemarmite tient un hôtel à Toulouse. Elle vient d’être avertie que le Prince Gédéssou, fils du roi de Rodimanie, a le projet de passer la nuit dans son établissement. Mais c’est Finaud, un domestique envoyé par une amie, qui se présente. Elle l’accueille comme un prince alors qu’il était venu demander du travail. Le domestique en profite pour savourer un repas délicieux et une nuit dans la meilleure chambre de l’hôtel.
À toi de jouer : imagine le dialogue entre Madame Bonnemarmite, qui croit accueillir un prince, et Finaud, qui comprend qu’il doit faire durer le quiproquo.
Scénario 2 : CHUTES À RÉPÉTITION
Madame Maman appelle le docteur, complètement paniquée. Depuis ce matin, son cher petit Totoche ne tient plus debout. Elle craint qu’il ne soit gravement malade… Le docteur arrive et examine l’enfant, qui tombe et se cogne partout dans sa chambre.
Finalement, le docteur découvre en riant que Madame Maman a inversé les lunettes de ses deux enfants et que Totoche n’y voit absolument rien.
À toi de jouer : imagine les questions angoissées de Madame Maman et les réponses et conseils du Docteur, ponctuées par les chutes comiques de Totoche.
Scénario 3 : AU SENS PROPRE
Deux commères se rencontrent au marché et commencent à dire du mal d’une « amie ». L’une emploie des expressions au sens figuré, que l’autre comprend au sens propre. Voyant qu’elles ne se comprennent pas, elles repartent finalement chacune de son côté.
À toi de jouer : imagine leur conversation, par exemple à partir des expressions suivantes : elle a une langue de vipère, elle me casse les oreilles, je voudrais lui clouer le bec, si elle ne me lâche pas la grappe, je vais monter sur mes grands chevaux, etc.